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 YOU'RE WAITING FOR A TRAIN •• 長谷川宙

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Sora Hasegawa
Sora Hasegawa
HIJIKATA ENT. • ☆☆☆☆☆
admin kifédéfote
Masculin Date d'inscription : 28/05/2014
Messages : 243
Popularité : 80
Âge du personnage : 21 yo ; majeur & immunisé de tous vos microbes qui plus est.
Métier : Livreur de pizza & photographe & étudiant à la Elite Hight School. (Hahaha la nulle elle fait une faute à High.) (+1 huhu)(LE GHT C'EST UN RÉFLEXE laissez-moi tranquille)
Présentation : www
Relationship : www

Si quelqu'un modifie mon profil je le frappe.
Crédits : ©️MIKU

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message posté (le) Jeu 29 Mai - 10:30 dans YOU'RE WAITING FOR A TRAIN •• 長谷川宙
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Sora Hasegawa


NOM COMPLET : Hasegawa 長谷川.
PRÉNOM : Sora 宙.
ÂGE : Vingt-et-un ans.
ANNIVERSAIRE : Vingt-deux mai.
LIEU DE NAISSANCE : Osaka, Japon.
ORIGINES : Suisse-allemande & japonaise.
ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel biromantique.
STATUT MARITAL : En couple depuis le mois dernier.
SITUATION FINANCIÈRE : Comme le jeune homme n'habite plus dans la demeure familiale, sa situation ne peut être que modeste, voire sur le seuil de la pauvreté.
MÉTIER : Étudiant en licence d'arts plastiques, photographe en stage chez la Hijikata Ent. & livreur de pizza le jeudi et le vendredi.
GROUPE SOUHAITÉ : Hijikata Entertainment.
AVATAR : Mamura Daiki • Hirunaka no Ryuusei.
... AVEC LA RAGE D'UN MERCENAIRE SOUS CRACK.

D'UN ALCOOLIQUE EN MANQUE DE JACK,
D'UN DÉMENT, D'UN AMANT QU'ON PLAQUE.

Musique craquelée.
Roulement de tambours.
La base du musicien qui frappe.
Le bruit des pas qui claque.

Monde inconnu à l'aube d'une nuit miséreuse. Mouvement d'un corps insurgé qui accentue l'angoisse du réveil au lendemain. Lumières tamisées qui agressent les paupières et dévoilent dans un flamboiement la misère du quotidien. Des rires sardoniques font écho dans la nuit noire. Poètes des rues s'animent sous l'identité de voyous et se fendent dans les ruelles moroses. Skateparc vaguement éclairé par quelques lampadaires mal entretenus, ce qui n'empêche pas les bêtes nocturnes de se pavaner en toute fierté. Quelques skatteurs et bikeurs n'ayant guère le goût de se repaître docilement s'envoient des vannes, chacun essayant de faire mieux que le précédent alors qu'un peu plus de tension divise les groupes. À la fin, comme à toutes fins, ils réaliseront qu'ils appartiennent au même stéréotype d'individus, qu'ils sont tous dans la même merde une fois les flip effectués et la planche à roulette remballée. Alors, ils partiront sans se promettre de se revoir le lendemain. Car ici, on ne sait pas si la personne avec qui on a conversé y'a quelques heures reviendra saine et sauve. Par contre, nous sommes en mesure d'appréhender la vérité et être conscients que tout le monde n'est pas honnête, que derrière leur jolie allure de profond mec tu peux retrouver le parfait sosie du dealer à côté de chez toi. Tout le monde sait donc ce qu'est l'autre sans pour autant distinguer son identité de ses actes. Pour eux tous, ce sont des potes, des ennemis et parfois même de bons coups. Ces personnes-là peuvent évidement se poser des questions, ce ne sont encore que des humains après tout, mais elles ne disent jamais rien de ce qu'elles pensent de cela ; sans doute car elles savent ce qui les réunit et qu'au fond, tout le monde s'en fout un peu du passé dramatique et trépident du premier caliméro. C'est pour cela qu'il faut savoir que ces gens-là ne se saluent jamais. Question d'habitude.

Et à côté de tout ce capharnaüm, y'a aussi ce garçon étrange qui reste assis dans son coin et qui ne vient pas se mêler aux autres, dédaigneux de leurs activités. Pourtant, c'est l'euphorie, c'est leur terrain de jeu, le soir, là où ils peuvent exprimer par l'art toutes les fantaisies inavouées qu'ils contiennent la journée afin de mieux s'exhiber à minuit. Mais ce gars demeure solitaire, fixant un horizon incertain avec ses yeux couleur carmin. En fait, on le croirait mort. On le croirait fatigué, on le croirait zombie ou déchet cadavéreux à cause de son teint et de ses blonds cheveux. Puis, quand on s'approche de lui, on attend néanmoins son casque cracher on ne sait quelle musique, et sa bouche fredonnait un air mélancolique qui ne sied guère au rythme qui se dégage de la partition. 

Paradoxe. C'est le mot qui définirait le mieux son attitude. 

Il n'exprime jamais ses mœurs sous la clarté de cette constante tâche d'encre, et dieu sait que cet enfant vit dans la ville et se promène au gré de la foule avec ses bombes de couleurs qui l'accompagnent sans cesse. Étrange. Furtif. Timide ? Il porte un nom qu'il évite de mentionner ; un prénom qu'il murmure piano à votre oreille comme s'il essayait de vous dérober le souvenir de votre rencontre ; vous devinez son âge, vous ne savez pas vraiment qui c'est, ni ce qu'il veut, et au fond, on s'entête tous à se dire qu'il n'est pas quelqu'un d'important parce qu'il en donne l'impression. Il se nomme Sora, il est jeune. Et il est déjà dans sa bulle. Enfermé. Ininterrompu. Occupé. Il n'a guère le temps pour nous, pour se faire une culture avec notre vie social et la doctrine de tel ou tel politicien. C'est tout lui, car il est vrai qu'il n'a le temps d'attendre le temps qui passe. C'est un idiot, ce jeune homme, mais il s'en fiche, le saviez-vous ?

Parce que son monde est beau.
Parce que son monde est synonyme de doux mots.
De lettres héroïdes d'Ovide et de promesses avides,
De bonheur tangible et de proses acides,
Qui font malgré eux toute la différence qu'il y a entre lui et nous.

Et de ce petit monde bien à lui, qu'il chérie tant, il s'isole des autres âmes rabaissées pour évoluer à son rythme. Sora détient le secret de son indifférence et s'accapare d'un idylle qui lui sied à merveille. C'est un rêveur. Toujours ailleurs. Il pense beaucoup, lui. Il pense à être un chevalier, un aventurier, un super héros ou un flic avec un esprit d'acier. Songeant au temps charmant, il se dit néanmoins que c'est d'un ennui. Alors il le renie, le sombre dans le noir du dénie, lui, l'impromptu impérateur. Et, avant qu'il ne s'en rende compte lui aussi, il est tard. Toute la journée il songe. Tous les jours aussi. Ça lui arrive de faire autre chose mais tout ceci lui importe guère ; c'est peu dire mais de la vie d'autrui, il s'en tape comme d'une spaghettis sur la table. Et à l'heure où il se perd, le temps qu'il met pour réaliser qu'il erre déjà depuis trop longtemps dans les rues de Tokyo, il fait déjà nuit noire dehors. Car l’hiver règne, elle et ses heures tardives qui se font si vite sentir, apportant avec elle trop tôt sa grande couverture noire et ses froissements de constellations, ses jolis ornements et ses énormes hématomes. Alors, les pieds ancrés dans cette planche en bois, il fait frémir d'excitation les battements de son cœur ; et les roues font des va-et-vient, sans jamais excéder les pittoresques centimètres de cette frontière invisible, qui arrêtait le parcours de la planche, pour la renvoyer dans le sens opposé. Pour dire la vérité et tout avouer, lui, il est comme eux. C'est un noctambule, un skatteur avide de la liberté qu'offre l'obscurité. Il vient, il roule, il reste puis sans va. On ne sait pas s'il reviendra, mais on est jamais vraiment étonnés de le revoir amorphe le soir même. Il se distingue, Sora. C'est le bruit de pas qui heurtent le bitume. De mains qui se frottent. D'un skate qui racle le sol et qui grise les murs. Refrain confronté aux quotidien. Tout le monde le connait à force. Tout le monde sait et pourtant, tout le monde ignore qui il est.

Sora il est ce rare étirement jovial.
Il est lambda invisible,
Il est extrinsèque,
Il est ingratitude,
Il est froideur,
Il est jalousie,
Il est colère,
Il est amertume
Et haine viscérale.

Sora est vilain. Sora paraît docile et honnête. Mais s'il fréquente ces quartiers là, des pègres sans ambition, c'est qu'il est lui aussi une bête de décadence. Sora ne s'en cache pas. Avec ses allures d'enfant frivole, il nous nargue. Il se moque. Il en rit. Sarcastique. Râleur. Colérique. Même s'il ne s'énerve que très rarement, tout le monde sait qu'il a la gueulante plus forte que nous tous et qu'il sait frapper, pas forcément avec des mots blessants et pertinents, mais quelques coups de brute suffisent à convaincre les ignorants. Malheureusement, ce corps se plie sous l'acidité de la vie. Tout le temps, épaules affaissées et mains dans les poches. Tout le temps, tout le temps, regards lointains et oscillants, gestes déplaisants et moue indolente. C'est tout de même un sacré grand type qui se dresse devant le reflet de notre navrante silhouette ! Nippé de vêtements simples et confortables, sans aucun autre style et objet personnel que son éternel casque et skate. Cela choque quelques personnes, mais il n'est pas là pour convenir à leurs rustiques goûts. Son propre intérêt avant tout, ses propres désirs et ses propres manies. Ce n'est pas quelqu'un de superficiel. Ce n'est pas une belle personne. Il se fixe derrière l'objectif. Il n'est pas quelqu'un de coquin car c'est lui qui doit mettre en valeur le mannequin. Et pour oublier tout cela, c'est avec la planche sous le bras qu'il défile tout en parade devant les autres, éberlués de ses prouesses. Et il roule dessus, on le croirait possédé et on l'envie car ce bois rouillé et craquelé ce sont ses pieds ; et il vole le gosse, il vole ! Il tourne et coure dans ce qui lui paraît être son terrain de jeu. Ses jouets. À lui. Ses impasses et ses défauts. Dans ce monde imparfait. Ce monde de mots. De promesses. De défendus et de brutes. Ces mêmes brutes, ce sont ses potes. Et il se fait respecté par ces débiles. Quand il parle, éloquent et toujours calme, ils l'entendent et l'écoutent. Sans doute parce qu'ils savent de quoi il est capable. Sans doute parce qu'il sait distinguer les emmerdeurs des vrais et qu'il ne plaisante jamais longtemps à leurs conneries. Sans doute parce qu'ils sont tous au courant qu'il sait frapper et se défendre, qu'il n'est pas grand pour être fort mais fort en étant grand. Qu'il ne joue pas au chef daddy pour tuer l'ennui, mais parce que nous dérangeons son monde. Indépendant. Passionné. Misanthrope. Il ne nous suivra jamais. Pour cause, Sora n'a pas la dégaine d'un mouton mais d'un meneur.


Alors que tu es fragile
Et que tu sembles chétif
Que ton corps s'écroule sans efforts
Comme une pomme.

Une pomme rouge.
Comme tes yeux.

Le soleil mourant.
Comme tes cheveux.

La planche esquintée.
Comme ton teint.

Le corps arqué.
Comme une colonne brisée. 


Moi,
Je peins ton portrait. 
Portrait de mots.
Portrait de préjugés. 

Illustre tableau de fantasmagoriques qui illumine l'exposition d'un artiste dégénéré. Et tu en es le protagoniste. La pomme rouge au centre étalée sur un fond désolant et étoilé.

THERE IS A STORM COMING, MR. WAYNE. YOU AND YOUR FRIENDS BETTER BATTEN DOWN THE HATCHES. BECAUSE WHEN IT HITS, YOU'RE ALL GOING TO WONDER HOW YOU EVER THOUGHT YOU COULD EVER LIVE SO LARGE AND LEAVE SO LITTLE FOR THE REST OF US.

Tu naquis à l'aube du printemps dans le pays du soleil levant • ton père est mélomane & ta mère hôtesse de l'air • ils ne sont jamais là, principalement ta génitrice qui préfère voler avec ses avions que rester avec un gamin comme toi • tu ne t'es jamais entendu avec ton père, ce dernier frustré que tu ne partages ni sa passion, ni aucune autre • ton truc à toi, c'est les bouquins mais tu as peur de leur avouer que tu voulais devenir vétérinaire • ton père a la phobie des animaux • ta mère déteste les chats • tu as sept ans & tu as déjà lu près de deux cents ouvrages et toujours aucun ami au compteur • à huit ans, tu es devenu grand-frère • tu ne sais pas qui est ce tas de graisses rouges et tu crois bien que tu t'en fiches • ce truc ridé, c'était en fait ta sœur, Momo • tu penses que tu la détestes, mais que ce n'est que passager d'après les adultes • à onze ans, tu participes à un concours d'entrée dans un célèbre conservatoire afin de faire plaisir à ton paternel • t'as croqué le tract et tu t'es mis à pleurer devant les juges • suite à cet échec, tu as été littéralement ignoré • deux mois plus tard, tu comprends qu'il ne possède plus aucune considération pour toi et tu décides de fuguer • mauvaise décision : tu t'es retrouvé avec des haillons, l'odeur de cigarettes, des tâches difformes dont on ignore toujours la provenance ainsi que le ventre affamé à peine quatre jours après ta petite excursion • ta mère et ton père se disputent pour la première fois et s'ensuit une longue séries d'engueulades où chacun remet la faute sur l'autre • tu fais une crise de stresse et est envoyé chez un psychologue qui est censé t'aider à évincer la situation familiale que tu traverses • 24 décembre gâché, tu ne veux pas aller en pensionnat, tu ne veux pas, tu ne veux pas • à treize ans, ils divorcent • désormais, vous êtes deux à vous haïr, Momo et toi • Elle part avec ta mère vivre chez votre famille maternelle en Europe et tu crois sincèrement que ce sont des adieux • pourtant, tu ne t'es jamais présenté l'aéroport et tu crois qu'aujourd'hui, tu le regrettes amèrement car tu n'as plus eu aucun signe de vie d'elles • tu es contraint d'abandonner ton rêve et décide de t'orienter vers la photographie : tu ne connais rien de cela mais tu trouves ça moins ennuyeux que de rester chez toi • tu as laissé tomber ce loisir et tu t'es mis à fréquenter des gangs qui traînent dans la rue & qui se foutent en l'air avec de la merde que tu n'avalerais jamais, même si tu devais sans doute crever, parce que c'était pas de bonnes qualités • seize ans, tu te mets au skate & à vivre dans les rues • plusieurs filles sont passées dans ton lit mais au final, à part des noms rayés de ta mémoire, tu n'as jamais rien retenu de ces expériences -pourtant, tu n'es pas devenu gay pour autant • tu commences à fréquenter les mauvaises personnes, mais ce n'est pas comme si tu t'en souciais • dix-huit ans, tu ne rentres pas dans l'école que tu voulais • tu commences alors à te taper un boulot quelques fois le soir qui te rapporte une misère • tu ne te laisses pas abattre et finit par entrer dans une école d'art avec l'argent de ton père, avec comme objectif d'intégrer une agence • tu ne sais pas ce que tu fous en tant que photographe mais tu t'amuses bien à voir des idoles défiler devant toi • majeur, te voilà expulsé de la maison familiale • t'héberge chez une fille qui est devenue ta copine le mois dernier • tu gagnes de la renommée en tant qu'artiste • tu es pris en stage chez le photographe professionnel d'Hijikata • tu survis.

JIM WOULD SAY
WAKE UP PEOPLE
EARTH IS DYING
POLITIKS AND MEDIAS
CONTROL YOU

TON PETIT PSEUDO : Jacqueline Anne-marie Roseline De Chateaublanc-sur-Brieux, époux de Georges la patate, AKA. Paindore. Absolument.
TON ÂGE ? : J'ai déjà la majorité sexuelle.
D’OÙ VIENS-TU COMME CA ? : DE TON CU-/PAN/ Parce que j'aime la fonda.
UNE REMARQUE ? : OHMYDIRTY Y'A DES ZOOS AVEC DES PINGOUINS VOUS SAVEZ ?? QUI VEUT RP AVEC MOI LA-BAS JE VOUS OFFRE MES BOURRELETS aller salut. cordialement.
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message posté (le) Jeu 29 Mai - 12:47 dans Re: YOU'RE WAITING FOR A TRAIN •• 長谷川宙
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June E. Widson a écrit:
• La présentation se doit d'être courte et rapide. Ce n'est pas l'endroit où vous développerez votre personnage alors synthétisez.

Jte vois déjà venir avec tes gros pavés toi. 8D
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Sora Hasegawa
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message posté (le) Jeu 29 Mai - 12:56 dans Re: YOU'RE WAITING FOR A TRAIN •• 長谷川宙
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yo:

JE M'AUTO-VALIDE PARCE QUE LES MANCHOTS UNIJAMBISTES & LES LAMAS SWAGGY. ACCEPTé CHEZ HIJIKATA ENTERTAINMENT.
Les verts t'accueillent dans l'agence !
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message posté (le) dans Re: YOU'RE WAITING FOR A TRAIN •• 長谷川宙
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